Jeunesse Idem vise à améliorer la qualité de vie des jeunes de 7 à 35 ans gais, lesbiennes, bisexuel.LEs, trans et en questionnement ainsi que de sensibiliser la population de la région de l'Outaouais face aux réalités de la diversité des orientations sexuelles et des identités de genre.

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Le projet Jeunesse Idem a vu le jour en 1995, au sein du BRAS (Bureau régional d'action sida). Au début, la priorité a été accordée au développement d’un projet de prévention pour les jeunes gais et bisexuelLEs francophones âgéEs de 25 ans et moins. Un tel projet devait s’adresser à toute la population homosexuelle/bisexuelle, incluant les femmes, pour en assurer le succès, la reconnaissance et, surtout, obtenir l’appui des autres groupes et intervenantEs de la communauté. L’appellation Idem a été choisie pour semblable, pareille, donc des jeunes qui vivent ou ont vécuEs des étapes semblables à d’autres jeunes et permettre une plateforme afin que les jeunes échangent entres eux et elles.

Depuis 2007, Jeunesse Idem a été transformé en programme du BRAS, plutôt qu’un projet. De plus, nous avons développé le groupe de discussion pour les jeunes (14-25 ans) gais, lesbiennes, bisexuelLEs, transgenres, transsexuelLEs et en questionnement. Jeunesse Idem est toujours, à ce jour, la seule source d’information et de support pour les jeunes 2LGBTQIA+ en Outaouais.

En juillet 2013, Jeunesse Idem a reçu les lettres patentes qui officialisent l’existence de Jeunesse Idem comme entreprise enregistrée (ou organisme communautaire indépendant). Par la suite, en décembre 2013, l’assemblée de constitution de l’organisme est tenue et les membres du premier Conseil d’Administration de Jeunesse Idem ont été éluEs.

C’est le 1er novembre 2016 que Jeunesse Idem prend finalement son envol. L’organisme emménage dans de nouveaux espaces plus adaptés aux besoins de l’organisme et des jeunes. C’est le début d’une nouvelle ère et le développement tant attendu du nouveau milieu de vie pour les jeunes, les partenaires, les proches et alliéEs. Les jeunes développent davantage un sentiment d’appartenance à l’organisme. Ils et elles se sentent comme à la maison!